Si tu viens d’une région éloignée comme l’Abitibi, tu connais sûrement l’expression veuve de chasse. Si tu ne sais pas ce que ça veut dire, c’est probablement parce que tu n’as pas un chum qui va passer une à deux semaines à la chasse pendant l’automne. Bref, être veuve de run c’est un peu le même principe, sauf que ton chum ne part pas à la chasse, il s’en va travailler à l’extérieur de la région.
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En mi-février, avec l’aide de mon copain vétéran du ski de touring, j’ai introduit mon père à son nouveau sport préféré. La semaine suivante, j’ai eu la chance d’ajouter ma mère à notre expédition. Le ski de touring, un sport qui monte en popularité en ce moment, peut sembler un peu intimidant. Nous sommes allés au Mont Olympia, une montagne qui a récemment aménagé plusieurs pistes à cet effet. Si vous avez la chance de vous y rendre, je vous le conseille fortement; les paysages sont à couper le souffle. De plus, il y en a pour tous les niveaux, de novice à expert.
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2020 fut assez mouvementée en émotions. Pour bien commencer cette nouvelle année, je voulais aborder un sujet qui me tient à cœur: la diversité dans les régions québécoises en tant que femme de couleur.
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Le novembre où nous pouvons nous diriger dans plusieurs régions du Québec pour y découvrir plus rapidement les sommets enneigés n’est malheureusement pas possible pour tous cette année. Cela étant dit, pourquoi ne pas nous donner la chance de prendre novembre par surprise? Ce matin, en allant me promener seulement à quelques mètres de chez moi, j’ai pu observer des oies blanches quittant vers d’autres horizons, la lune apparaître au loin dans un ciel bleu et la beauté des conifères entourant mon environnement.
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La pandémie a vite remis mes priorités en question. Comme tout le monde, j’ai une vie assez chargée : enfant, job, chum, amis, sport, etc. Avec mon retour au travail, j’ai perdu l’essence du «Slow life» ou l’essentiel, soit ma famille et ma santé. On se laisse facilement entraîner dans le tourbillon de nos vies. En ce sens, voici 10 solutions pour te ramener un peu à la base.
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En partenariat avec Mme L’Ovary
Alors qu’on profite du grand air comme jamais au Québec, on veut vous parler en toute transparence d’une merveilleuse option pour des menstruations zéro déchet, sans stress et comportant une foule d’avantages! Nous sommes fières de collaborer avec Mme L’Ovary, une entreprise d’ici qui propose des alternatives aux classiques serviettes jetables ou tampons, afin de briser les barrières sur un sujet qui nous concerne toutes.
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C’est dans le déséquilibre que l’humain change, et bien on peut dire qu’on a perdu pied en ce moment ! Mais j’ai l’impression de voir de plus en plus de gens reprendre le bon chemin (à mon sens à moi). On vit une période sombre de l’humanité, mais on ne se cachera pas qu’il y a de la lumière qui en ressort. Je n’ai pas envie de vous donner des trucs pour bien vivre votre confinement, mais plutôt de vous partager mes souhaits, ce que j’aimerais voir perdurer dans l’habitude des Québécois après le confinement.
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File à l’épicerie. Dans l’attente, personne ne regarde son cellulaire. De toute façon, regarder son écran est déprimant : partout sur les réseaux, on ne parle que de la Covid-19, et on ne sait plus trop à quelle information se fier. Non, plutôt que de regarder leur cellulaire, les gens se retournent, parlent avec la personne à deux mètres derrière eux. La dame devant moi me parle de son fils handicapé qui a dû être mis en arrêt de travail, faute de comprendre pourquoi sa routine était brisée par un abus de Purell.
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La radio, la télé et les journaux en parlent, alors tout d’un coup on finit par se dire que l’économie au Québec en prend un coup, et que peut-être que notre commerce favori devra fermer ses portes par peine de se relever de cette crise. Alors, en tant que citoyenne, je me dis que c’est de mon devoir de les encourager afin qu’ils remontent la pente.
Après avoir acheté mon pain à la boulangerie du quartier et d’avoir placé les produits certifiés québécois dans mon panier d’épicerie, je me demande comment je pourrais aider davantage.
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J’vais peut-être avoir l’air d’être too much (moi ? jamais!), mais dans la vie, je suis du genre à essayer de trouver du positif, même dans les situations les plus difficiles. Vous me demanderez… qu’est-ce qu’il y a de positif à soutirer d’une pandémie mondiale? C’est sûr que vite de même, je te répondrais : pas grand-chose. Par contre, quand tu te mets à réfléchir, tu te dis que ça aurait pu arriver en plein mois de janvier, quand il fait moins 40 dehors et que t’es VRAIMENT confiné chez vous, sans trop avoir l’option de faire une marche de santé sans risque de te geler un membre. Tu peux aussi prendre le temps d’analyser toutes les choses que tu repoussais à plus tard que t’as pu faire : des projets, de l’art, des macramés, écrire un livre… name it, t’as le temps de faire ce que tu veux maintenant.
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