Comme vous le savez déjà, je suis le type de personne qui part partout avec mes chiens et qui, souvent, planifie ses vacances en fonction de ceux-ci. Je fais partie de ces personnes qui veulent que les chiens soient inclus dans notre société et je suis fière de voir les avancements comme le Quartier Dix30 qui acceptent maintenant les chiens dans leurs magasins et la SEPAQ qui te permet de faire du plein air avec ton fidèle compagnon.
Poursuivre la lectureLe texte «Ode à l’été» est un écrit qui devait nécessairement être fait à la fin de la saison. L’été est une saison qui s’apprécie pendant qu’elle se vit, mais c’est surtout une saison que l’on remercie lorsqu’elle finit, avec une certaine nostalgie et un gros sourire, alors qu’on commence tranquillement à sortir nos laines d’automne, à se faire de doux thés en soirée et à cuisiner les produits de la récolte automnale qui commence.
Poursuivre la lectureIl n’y a point de secret, tout le monde est passé par le cours d’histoire au secondaire expliquant les origines autochtones au Québec, ainsi que les différences entre la population nomade (Algonquins) et sédentaire (Iroquois) : les Iroquois s’installent dans des lieux avantageux au niveau de la nourriture (cueillette abondante, cours d’eau, etc.) et ne déménagent plus, tandis que les Algonquins se déplacent pour se nourrir, selon la chasse et la cueillette.
Poursuivre la lectureJe viens du Témiscamingue, mon chum vient de Chibougamau et nous habitons ensemble à La Sarre en Abitibi. Mes parents habitent à Ville-Marie et ma sœur vit à Québec. La mère à mon chum habite à Chibougamau, son père est récemment déménagé à Valcourt en Estrie et tout le reste de sa famille est éparpillé autour de Montréal.
Poursuivre la lecturePourquoi faire un texte parlant des livres écrie seulement par des auteurs autochtones? La réponse est simple,
c’est une population qui me fascine. J’aime travailler avec eux, apprendre leur culture et démystifier nos croyances.
À noël 2017, j’avais demandé des livres et j’ai reçu celui écrit par Naomi Fontaine, Manikanetish. Je vous parle donc de mes trouvailles et de mes coups de cœur.
Poursuivre la lectureC’est en direct de l’aéroport Montréal-Trudeau, en attente de mon vol “direction ma ville d’adoption”, que je prends le temps de faire une rétrospective des mes vacances d’hiver au Bas-St-Laurent (BSL) et à Carleton-sur-Mer.
Poursuivre la lectureFaire le choix d’aller vivre dans le Grand Nord, ce n’est rien de moins que faire le choix d’aller vivre dans un tout autre univers. Ici, oubliez toutes les idées reçues que vous avez du Québec et tentez de repartir à neuf : ce que vous aller découvrir est unique et précieux, je dirais même inestimable. Pour moi, aller vivre dans le Grand Nord, c’est d’abord et avant tout aller à la rencontre de la culture Inuite, un tout autre mode de vie.
Poursuivre la lectureDans les dernières années, le plein air a été une révélation tant pour mon bien-être que pour ma santé en général. Un peu comme une sorte de thérapie personnelle, c’est mon moyen le plus efficace pour lâcher prise et me recentrer sur l’essentiel. Avec un peu de recul, je réalise à quel point le plein air a aussi eu des impacts positifs sur ma relation de couple. Malgré nos passions différentes, nous partageons ce fort intérêt commun pour la nature et le camping. Je ne surprends personne en disant qu’un des critères de base pour la réussite d’une relation est d’avoir des projets à deux. Même si plusieurs autres projets sont au cœur de notre couple, notre amour pour la nature occupe une place importante dans nos vies.
Poursuivre la lectureDepuis que j’habite sur un archipel, ma conscience écologique a sans doute triplé. J’ai vu des caps s’effondrer, d’anciens sites d’enfouissement resurgir et se déverser dans la mer, des dunes détruites par le piétinement et l’érosion éolien, des déchets échoués sur toutes les plages et même du plastique dans un corps d’oiseau…mort, tout ça au quotidien. J’ai donc pensé me lancer un défi : réduire considérablement la quantité de déchets que je produis, et pour tout dire, ce n’est pas évident quand on vit loin de tout.
Poursuivre la lectureMarie-Ève, c’est une de mes amies qui me ressemble particulièrement sur un point : on est toujours en train de chercher les choses les plus épiques à faire. On cherche des moyens de rendre ces choses encore plus uniques qu’elles ne le sont déjà, mais on se satisfait des plaisirs simples de la vie, comme lire sur le balcon en écoutant la pluie qui cogne contre l’auvent ou prendre un bon café devant le lever du soleil. Donc des idées folles, elle en a autant que moi.
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