Un peu plus tôt cet été se déroulait la toute première édition du festival Ô Memphré, un festival de musique 100% québécoise, en bordure du lac Memphrémagog. Composées de 9 spectacles au total, chacune des soirées était divisée en trois parties, soit une première performance de 45 minutes présentée par un artiste émergent, suivi d’une prestation de 60 minutes d’artistes en progression pour terminer avec un spectacle de 90 minutes de la tête d’affiche de chaque soirée.
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Lorsque Culture3R et Tourisme Trois-Rivières nous ont invité à venir vivre un superbe séjour à Trois-Rivières, j’étais fébrile puisque j’habite dans cette ville que j’aime d’amour.
Quoi de mieux que de vous faire découvrir les endroits et les attraits de l’endroit qui a ravi mon cœur depuis déjà plus de dix ans?
C’est donc le sourire aux lèvres et le cœur ouvert que j’ai parcouru les rues de Trois-Rivières. Chacune des expériences qui ont ponctué mon séjour étaient nouvelles pour moi, chacun de ces endroits aussi. Cet itinéraire de deux jours était parfaitement taillé et je me suis sentie accueillie à bras ouverts à chaque étape.
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Nous arrivons enfin au Lac-Saint-Jean. Premier arrêt, la ville de Saint-Félicien et son officie du tourisme. On se renseigne des activités à proximité ainsi que des potentiels lieux existant pour dormir dans notre voiture. On décide d’aller se balader aux chutes à Michel puis de déguster une bière de la microbrasserie locale : La Chouape. La terrasse extérieure, ambiance guinguette, est vraiment agréable avec une petite vue sur le lac.
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On ne va pas se mentir, le principal objectif de ce road trip pour moi était la Côte-Nord. Mais je souhaitais aussi visiter d’autres régions, dont la fameuse région de la Baie-James. L’Abitibi-Témiscamingue est déjà considérée comme une région éloignée, mais quand j’entends ce qu’on dit sur la Baie-James, je ne pouvais m’empêcher de me dire qu’il fallait que j’aille voir de mes propres yeux. De plus, j’adore être éloignée de toute forme de vie humaine.
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Aujourd’hui, on avait envie de vous présenter le parcours inspirant de notre ambassadrice qui a choisi de s’établir dans la région du Nord-du-Québec, plus précisément au Nunavik. Celle qui est nouvellement maman a répondu à nos questions dans le but de mettre en lumière sa réalité et celle du Grand Nord.
Poursuivez votre lecture pour en apprendre plus sur son histoire atypique et la vie au Nunavik.
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Il n’y a point de secret, tout le monde est passé par le cours d’histoire au secondaire expliquant les origines autochtones au Québec, ainsi que les différences entre la population nomade (Algonquins) et sédentaire (Iroquois) : les Iroquois s’installent dans des lieux avantageux au niveau de la nourriture (cueillette abondante, cours d’eau, etc.) et ne déménagent plus, tandis que les Algonquins se déplacent pour se nourrir, selon la chasse et la cueillette.
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Voici une série d’articles afin de vous préparer à venir visiter l’Abitibi-Témiscamingue cet été. Il y aura un article sur chaque MRC; Val-d’Or, Témiscamingue, Rouyn-Noranda, Amos et Abitibi-Ouest.
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Faire le choix d’aller vivre dans le Grand Nord, ce n’est rien de moins que faire le choix d’aller vivre dans un tout autre univers. Ici, oubliez toutes les idées reçues que vous avez du Québec et tentez de repartir à neuf : ce que vous aller découvrir est unique et précieux, je dirais même inestimable. Pour moi, aller vivre dans le Grand Nord, c’est d’abord et avant tout aller à la rencontre de la culture Inuite, un tout autre mode de vie.
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