L’hiver, tout le monde parle de ski, de motoneige, de raquettes, mais j’entends rarement parler de chiens de traîneau. Personnellement, j’adore les chiens, surtout les races nordiques, malheureusement je ne peux pas encore avoir le mien…alors j’aime faire des activités avec eux!
Poursuivre la lectureEnfin, le traversier de Tadoussac: la porte d’entrée de la route des baleines. On passe assez tôt le matin, ce que je conseille, car l’achalandage peut être assez élevé par la suite. Durant la traversée, la nature nous offre déjà un premier cadeau, un petit rorqual à l’entrée du fjord. On se gare pas trop loin de l’office du tourisme, on prend quelques informations puis on se rend à la plage de roches de Tadoussac à pied.
Poursuivre la lectureOn traverse Chibougamau pour basculer sur la rive sud du fjord. Sur les recommandations de nos amis, nous prenons la direction de la baie des Ha! Ha!.
Poursuivre la lectureNous arrivons enfin au Lac-Saint-Jean. Premier arrêt, la ville de Saint-Félicien et son officie du tourisme. On se renseigne des activités à proximité ainsi que des potentiels lieux existant pour dormir dans notre voiture. On décide d’aller se balader aux chutes à Michel puis de déguster une bière de la microbrasserie locale : La Chouape. La terrasse extérieure, ambiance guinguette, est vraiment agréable avec une petite vue sur le lac.
Poursuivre la lectureAprès un an et demi à être confinée en Abitibi-Témiscamingue, il était temps de prendre le large et de découvrir la belle province du Québec.
Poursuivre la lectureOn ne va pas se mentir, le principal objectif de ce road trip pour moi était la Côte-Nord. Mais je souhaitais aussi visiter d’autres régions, dont la fameuse région de la Baie-James. L’Abitibi-Témiscamingue est déjà considérée comme une région éloignée, mais quand j’entends ce qu’on dit sur la Baie-James, je ne pouvais m’empêcher de me dire qu’il fallait que j’aille voir de mes propres yeux. De plus, j’adore être éloignée de toute forme de vie humaine.
Poursuivre la lecturePour mieux comprendre ce titre, je dois d’abord raconter mon histoire de manière brève. Je suis française et je suis arrivée en Abitibi-Témiscamingue le 13 janvier 2020 à Rouyn-Noranda. He oui, j’ai atterri en plein hiver, juste avant le début de l’explosion de la pandémie. Je sais que la pandémie est un sujet plutôt négatif, mais à travers ce texte, je souhaite aussi montrer qu’il y a du bon dans ce que nous traversons.
Poursuivre la lectureToujours dans le but de prouver qu’il y a des belles choses à faire en Abitibi, je veux vous parler du parc national d’Aiguebelle. Il est à moins de 1h15 des grandes villes de la région, telles qu’Amos, Val-d’Or, La Sarre et Rouyn-Noranda.
Poursuivre la lectureJe sais que nous sommes en plein hiver, que les paysages sont encore blancs et qu’il fait froid. Mais j’aime penser à mon prochain été plein de chaleur, c’est pourquoi je veux te parler du canot.
Poursuivre la lectureIl y a presque un an, j’apprends que je vais vivre en Abitibi-Témiscamingue à Rouyn-Noranda. Je regarde sur la carte et je me demande dans quel endroit perdu nous allons atterrir mon chum et moi.
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