À l’approche du temps des Fêtes, plusieurs s’affairent à leurs préparatifs de Noël et partent à la recherche du parfait cadeau pour tous. De nombreuses personnes se tournent notamment vers l’achat local pour dénicher d’uniques trouvailles. En plus d’encourager l’économie de la région, se procurer ses cadeaux et décorations festives auprès des marchands locaux diminue votre empreinte écologique. Si vous souhaitez vous tourner vers ce type d’achat cette année, les marchés de Noël sont de vraies mines d’or de produits provenant de commerces de la région.
Poursuivre la lecture« Supportons local ». On a souvent entendu cette phrase depuis que la Covid-19 est arrivée au Québec. Pourquoi devons-nous favoriser davantage les achats locaux? En plus d’aider les gens d’ici et l’économie de notre belle province, l’achat local nous permet de trouver de beaux produits durables et faits de manière écoresponsable. Voici 11 compagnies québécoises pour vous équiper lors de vos prochaines sorties en plein air.
Chaque année pour Noël, ma famille organise un échange de cadeaux avec une thématique bien précise. Plusieurs sujets ont été exploités dans la dernière décennie ; le voyage, la gourmandise, l’art, la musique… Depuis quelques années, je remarque que les valeurs qui dictent notre échange sont beaucoup plus axées sur la consommation responsable et le développement durable. Par exemple, l’an dernier la thématique était « fait ici », l’année précédente c’était « un cadeau pour la cause », puis, en 2016, il devait s’agir d’une expérience plutôt que d’un cadeau matériel.
Poursuivre la lectureEn collaboration avec MYCO
Dans l’article Se nourrir de nos forêts, je vous ai brièvement parlé de la Filière mycologique de la Mauricie. Cette dernière, en collaboration avec la Coop Le Temps d’une Pinte, est à l’origine du rendez-vous de la gastronomique forestière, MYCO. Cet évènement s’échelonnant sur 11 jours est de retour pour une 4e édition cette année. Pour l’occasion, 22 restaurateurs de la Mauricie collaborent avec des cueilleurs et producteurs locaux afin d’élaborer des menus composés de champignons sauvages, de petits fruits des bois, d’herbes forestières, du gibier, ainsi que des produits maraîchers de notre terroir festif !
Poursuivre la lectureJ’ai toujours adoré la forêt. J’ai des souvenirs de moi, très jeune, au chalet, en train de jouer des heures dans le bois avec mes cousins. Pas plus tard qu’aujourd’hui, je suis allée prendre une marche dans la «forêt de ville» en arrière de chez moi, avec mon fidèle Charlot. Ça m’apaise énormément.
Poursuivre la lectureChaque année au mois de septembre, on se lance le défi de manger 100% local pour encourager les producteurs de chez nous! Vous êtes de la Côte-Nord et avez besoin d’inspiration? Je vous présente trois belles entreprises situées en Minganie et Basse-Côte-Nord pour alimenter votre Défi 100% local!
Poursuivre la lectureToujours dans le cadre du Défi 100 % local, dirigeons-nous cette fois vers la MRC de la Haute-Côte-Nord. Cette vaste étendue de richesses naturelles, qui constitue aussi la porte d’entrée de la grande région de la Côte-Nord, offre une panoplie d’options pour garnir vos assiettes de produits du terroir et d’entreprises à visiter.
Poursuivre la lectureToujours dans le cadre du Défi 100 % local, j’ai cru pertinent de m’entretenir avec Félix Pigeon, un ancien avocat qui a pris la décision de quitter le droit et de s’installer en forêt à Chibougamau pour tendre vers un mode de vie autosuffisant. À la Baie-James, ce n’est pas les richesses naturelles qui manquent et ce dernier souhaite tirer profit au maximum de ce qu’offre son territoire.
Poursuivre la lectureLes circonstances actuelles ont permis de mettre de l’avant la consommation locale et le tourisme agroalimentaire, favorisant grandement la découverte des produits régionaux. Bien connu pour l’importance de ses industries laitières, le Centre-du-Québec compte exactement douze fromageries qui offrent une multitude de fromages fins et frais, les uns plus savoureux que les autres.
Poursuivre la lectureJoseph O. Vandal, agronome-généticien, considéré comme le père de la vigne au Québec, souligne dans certaines de ses publications que le premier vignoble québécois fût implanté par Samuel de Champlain en 1608. Mais la culture de la vigne a véritablement pris son envolée vers le milieu des années 1980 . Maintenant, on retrouve des vignobles aux quatre coins de la province, pour notre plus grand bonheur! Dans le cadre du Défi 100% local, quelle belle occasion de découvrir les vins de la Mauricie et les viticulteurs qui se cachent derrière.
Poursuivre la lecture
Commentaires récents