Cette année, ajoutez une «twist» à la routine de septembre en relevant le défi 100% local. Au menu : de la bonne bière, des fruits de mer, mais, avant tout, des producteurs passionnés! Voici 7 arrêts obligatoires pour manger local dans la MRC Sept-Rivières.
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Quoi de plus local que d’aller à la source même pour chercher notre nourriture? À la ferme Manicouagan, vous pourrez y faire l’autocueillette de camerises, fraises, framboises et maïs. Ils offrent aussi une belle sélection de légumes frais et une gamme de produits pour vous faire découvrir la camerise. Vous pouvez commander vos aliments sur leur site internet et ensuite venir chercher votre commande à Baie-Comeau. Sinon plusieurs de leurs produits se retrouvent dans des épiceries et poissonneries de la Côte-Nord et de la région de Montréal.
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Quand je suis arrivée à la Baie-James, j’avais pour mission d’animer des ateliers de cuisines communautaires avec les enfants de l’école primaire. Personnellement, j’avais vraiment envie d’en apprendre plus sur la culture crie. J’ai donc décidé d’intégrer la viande de chasse traditionnelle dans tous ces beaux moments. Très, très rapidement, j’ai réalisé à quel point j’en savais si peu sur les techniques en lien avec ce type de mets! En deux temps, trois mouvements, les élèves avec lesquels je travaillais dépeçaient les (très) larges morceaux d’orignal que je leur apportais de l’endroit dans la communauté où l’on pouvait aller chercher de la viande gratuitement.
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Le café de la Brûlerie des Cantons, le kombucha KOMBU, le miel de La Miellerie King, les bleuets de Les petits fruits d’Evelyne, le fromage en grain de la Fromagerie St-Guillaume, le sirop d’érable de l’Érablière Rouge, les pommes du Verger Blanchard, les tomates de la Tomaterie Saint-Pierre-les-Becquets : Au Centre-du-Québec, ce n’est pas les entreprises locales et les produits du terroir qui manquent.
Voici 7 entreprises du Centre-du-Québec où les produits locaux sont mis de l’avant!
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Une promenade à la boulangerie du coin, un pain frais de La Gourmandine, un croissant, une chocolatine… Un bol de l’onctueux yogourt Boréalait de St-Félix-de-Dalquier, couvert des savoureux petits fruits témiscamiens de Nordvie et d’un filet de miel de La Grande Ourse de St-Marc-de-Figuery. Et pourquoi ne pas tartiner notre pain de la – très renommée – confiture de La fraisonnée de Clerval? (Personnellement, j’ai un coup de cœur pour la fraise et rhubarbe.)
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Cette année, plus que jamais, les produits locaux ont la cote. Et pourquoi?
La crise actuelle nous fait prendre conscience de l’instabilité du système alimentaire, celui qui nous permet d’avoir des aliments dans notre assiette chaque jour… Mais surtout, on se rend compte de notre « dépendance » aux autres pour s’alimenter ; aux autres pays, provinces, régions, aux travailleurs étrangers…
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Je pousse la lourde porte d’entrée du centre communautaire et j’entre rapidement dans le bâtiment, enfin à l’abri du froid. J’enlève mes lunettes pleines de buée, ma tuque, mon foulard et mon manteau. Au moment où je m’apprête à enlever mes pantalons de neige, trois petits enfants de moins de 5 ans viennent vers moi pour me saluer. – What’s your name? Rapidement, je salue les gens que je connais, on rit. Je souris, il est 14 h 00. Je suis vraiment heureuse de m’être déplacée pour cette fête communautaire, et d’avoir bravé le froid en ce samedi après-midi.
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J’vais peut-être avoir l’air d’être too much (moi ? jamais!), mais dans la vie, je suis du genre à essayer de trouver du positif, même dans les situations les plus difficiles. Vous me demanderez… qu’est-ce qu’il y a de positif à soutirer d’une pandémie mondiale? C’est sûr que vite de même, je te répondrais : pas grand-chose. Par contre, quand tu te mets à réfléchir, tu te dis que ça aurait pu arriver en plein mois de janvier, quand il fait moins 40 dehors et que t’es VRAIMENT confiné chez vous, sans trop avoir l’option de faire une marche de santé sans risque de te geler un membre. Tu peux aussi prendre le temps d’analyser toutes les choses que tu repoussais à plus tard que t’as pu faire : des projets, de l’art, des macramés, écrire un livre… name it, t’as le temps de faire ce que tu veux maintenant.
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Si vous êtes autant amoureux que moi du temps des fêtes, vous allez rapidement comprendre qu’une de mes activités favorites de la fin novembre est de parcourir les différents marchés de Noël. Ils hébergent une ambiance magique digne de nos films de Noël favoris. C’est la sortie par excellence pour découvrir les plus belles trouvailles artisanales de ta région à offrir en cadeau ou tout simplement pour vous. En prime, on profite du grand air nordique, un petit café content à la main ou un chocolat chaud garnit de guimauve qui nous réchauffe l’âme, tout en se laissant imprégner des chants classiques du temps des fêtes.
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Je viens d’un petit village dans Lanaudière. Une municipalité de 1600 habitants. C’est un lieu rassembleur où les artisans sont mis de l’avant. On y retrouve un festival annuel qui a accueilli 6000 visiteurs cette année. C’est à Sainte-Marcelline-de-Kildare, dans Lanaudière, que le festival des artisans a fêté sa 21e édition en septembre dernier.
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