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Road trip de 23 jours au Québec

Après un an et demi à être confinée en Abitibi-Témiscamingue, il était temps de prendre le large et de découvrir la belle province du Québec.

Avec mon chum nous avons décidé de faire une boucle en dormant dans notre voiture. Avant de vous présenter l’aventure que j’ai vécue durant le mois d’août, voici comment on s’est organisé et ce qu’on a apporté : 

  • D’une part, on a aménagé notre voiture avec un matelas d’occasion en mousse qui se plie et déplie selon si on recule ou non les sièges avant.
  • Pour la nourriture, on a apporté des aliments secs (pâtes, riz, fruits secs, barres céréales, poissons déshydratés) ainsi que du pain maison (il aura tenu presque 2 semaines).
  • On a pris tout notre stock de camping : réchaud, couverts, de quoi cuisiner un minimum, bassine, liquide vaisselle et éponge pour faire la vaisselle. On a également apporté notre tente, matelas gonflables et nos sacs de couchage, car nous savions que nous allions camper.
  • On a pris que peu d’habits chacun avec le nécessaire de toilette : brosse à dents, dentifrice, savon, brosse à cheveux et deux serviettes.
  • Un livre chacun pour passer notre temps si besoin et le tour est joué, nous voilà prêts à partir.

Partir où, quel trajet ? On s’est préparé un itinéraire de 3 900 km, au final on en a fait 4 800 km.

On commence par se rendre jusqu’à la Baie-James, puis une semaine autour du lac Saint-Jean, la rive sud du fjord du Saguenay, ensuite la route 138 jusqu’à Kegaska et, pour finir, 5 jours entre Charlevoix, Québec et Mont-Tremblant. Au programme, canot, via ferrata, rencontre avec les loups, kayak sur le Saint-Laurent, dormir à l’archipel de Mingan, finir la route 138 et découvrir 5 parcs nationaux de la Sépaq :

  • Pointe -Taillon
  • Haute-Gorges-de-la-Rivière-Malbaie
  • Fjord-du-Saguenay
  • Mont-Tremblant
  • Parc marin du Saguenay-Saint-Laurent

Afin d’expliquer au mieux mon road trip, je vais vous le présenter en plusieurs parties :

Je rajouterai un article qui me tient à cœur, c’est tendre vers le zéro-déchet en voyage. En effet, voyager et les sports de plein air abiment notre planète malgré l’amour qu’on lui porte en pratiquant ces activités. Il existe des solutions pour minimiser nos impacts !

À bientôt pour la suite de l’aventure !

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