Depuis que j’habite sur un archipel, ma conscience écologique a sans doute triplé. J’ai vu des caps s’effondrer, d’anciens sites d’enfouissement resurgir et se déverser dans la mer, des dunes détruites par le piétinement et l’érosion éolien, des déchets échoués sur toutes les plages et même du plastique dans un corps d’oiseau…mort, tout ça au quotidien. J’ai donc pensé me lancer un défi : réduire considérablement la quantité de déchets que je produis, et pour tout dire, ce n’est pas évident quand on vit loin de tout.
Poursuivre la lecturePointe-aux-Loups est le plus petit village des Îles-de-la-Madeleine. Y habitent grosso modo ma famille et 3-4 autres personnes. Des plages reconnues bordent ce patelin méconnu. Poursuivre la lecture
Mal de terre : c’est ce qui arrive quand on quitte les Îles-de-la-Madeleine. Les visiteurs nous demandent comment on fait ici, pour vivre toujours dans le mouvement. C’est qu’au bout d’un moment, le corps s’adapte au vent. Il s’habitue au va-et-vient des vagues sur l’horizon et aux montées et descentes des dunes et des collines sur la route. Je ne m’en rends plus compte, même que je cherche le plus souvent possible à Poursuivre la lecture
Attention, cette recette contient du lactose, du gluten, des fruits de mer, du gras, du bonheur et du chou-fleur … et c’est facile de rater une sauce Béchamel, soyez patient. Reste que c’est une recette parfaite pour un souper spécial, un peu plus dispendieux et fancy que le traditionnel Kraft Dinner. L’important, c’est de bien choisir ses produits et dieu sait que les produits du terroir madelinot sont délicieux et réconfortants. Évidemment, la recette peut aussi s’adapter aux ingrédients qui se retrouvent dans votre frigo, mais… ce n’est pas pareil. Poursuivre la lecture
Sur les Îles-de-la-Madeleine il vente beaucoup, tout le temps et c’est exquis. Difficile de refuser une bouffée d’air frais plein les poumons à tous les jours, il suffit simplement d’accepter tes cheveux ébouriffés. Quand il fait froid, c’est encore mieux, on se retrouve avec cette splendide coiffure que j’aime appeler cheveux de sel sales remplis de nœuds écrasés par ma tuque que j’ai mise parce que j’avais froid. Ces jours-là, peu importe où l’on marche, le sable nous fouette les jambes et l’air nous fait mal au visage. Dans ce cas, il vaut mieux rentrer au chaud. Poursuivre la lecture
Les vagues. Le va-et-vient.
Ça pourrait arriver à n’importe qui de tomber en amour avec un petit coin du monde, tout près d’ici.
Ton passeport est fatigué, range-le donc. J’ai une idée, c’est le meilleur endroit pour se retrouver : du vent, du sable, des buttes, des falaises, la mer et les étoiles (un mélange entre l’Irlande et Cancun, je le jure). Poursuivre la lecture
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