Décrocher en nature au Lac Walker
Je tenais à vous partager mon expérience d’une fin de semaine au Lac Walker, à Port-Cartier. Pour vous mettre en contexte, nous y avons loué un chalet avec mes parents en août dernier. Des amis de la famille se sont mariés là-bas, tout simplement, sur la plage. Aussi, il s’agissait de notre première fin de semaine sans bébé. Eh oui, maintenant maman d’un petit garçon de quatre mois, j’ai profité autrement de cette fin de semaine au bord de l’eau (dormir), mais ça, c’est une autre histoire!
Bref, ce petit coin de paradis est situé à environ 30 minutes de Port-Cartier. Endroit où le réseau n’est pas disponible, parfait pour relaxer et profiter de la nature. Pour y passer du temps, vous devez avoir votre droit de passage, puisqu’il s’agit d’une ZEC. À l’entrée du site, il y a un kiosque avec un employé qui répondra à toutes vos questions. Pour consulter les tarifs, je vous invite à consulter leur site internet.
Chalets et activités
Les chalets sont petits, rustiques et très confortables. Il s’agit de logements de quatre à six places, avec toutes les commodités (douche, propane, vaisselles, etc.), mais qui n’a pas l’électricité. Les prix sont également très abordables. Sur place, nous en avons profité pour faire du bateau et mon conjoint, ainsi que nos amis en ont profité pour montrer leurs talents de wake-board. Il y avait des kayaks à notre disposition, nous avons fait des feux le soir, pris une bonne bière froide entre amis et chanté. Bref, on a eu du fun!
Les forfaits de chasse
La SEPAQ offre plusieurs forfaits pouvant être utilisés au Lac Walker. Entre autres, celui de la chasse à l’orignal. Cette année, mon père s’est inscrit au «tirage au sort» dans le but d’obtenir une place afin de participer à une semaine de chasse (c’est ainsi que ça fonctionne). Il a été sélectionné et a invité son compagnon de chasse depuis 30 ans, mon chum et mon petit-cousin. Le forfait comprend les zones de chasse, le chalet, une chaloupe et la pêche, pour une semaine. La première journée, mon père a tué un beau buck (yeah, de la bonne viande pour l’hiver!). Puisque leur chasse a été assez courte, ils ont pu pêcher le reste de la semaine. Ma mère, bébé Zacharie et moi avons été leur tenir compagnie lors de deux soupers. Les gars ont vraiment tripé et aimé leur expérience. Mon père a même décidé de s’inscrire à nouveau l’an prochain.
Si vous n’aimez pas la chasse et êtes plutôt pêche ou sports nautiques, c’est possible de prendre le forfait qui vous convient. J’espère que mon texte vous aura donné le goût de venir visiter notre coin de pays. La SEPAQ a tellement de possibilités à vous offrir!
